Vos déplacements urbains sont des corvées ? |
Transformez les en parties de plaisir ! |
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Skiez toute l'année, |
et ne prenez que le plaisir, pas les gamelles ! |
Avec ou sans moteur, SkateDrive® est un moyen de déplacement intermodal non polluant, sécuritaire, ludique et sportif, d’une maniabilité et une polyvalence exceptionnelles.
Découvrir le Skatedrive en vidéo :
#1 - Un tout petit aperçu
En offrant :
l’équilibre, le freinage et la facilité du vélo...
la glisse, l’agilité, la légèreté, la compacité, et le plaisir du roller
la stabilité et la capacité du triporteur
des sensations de ski
c'est le "détail" qui change tout !
SkateDrive®, c'est quoi ?
C’est d’abord :
Mais c’est aussi :
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SkateDrive®, comment c’est fait ?
Dans sa version musculaire, deux poignées sur un guidon commandant une roue au moyen d’un bras télescopique réglable à la taille du skatedriver, et d'une fourche dotée d'un double système de freinage puissant, le tout en aluminium traité.
SkateDrive®, un concept complexe :
Au premier abord, rien ne semble évident !
Mais imaginez un instant avoir un roller à chacun de vos quatre membres, et que vous vous déplaciez non plus en patinant avec vos jambes, mais à 4 pattes en utilisant tout le corps dans un mouvement coordonné des quatre membres...
Imaginez maintenant que vos deux bras s’unissent en tenant un seul et même roller, pour l’animer et le contrôler avec plus de force...
Imaginez enfin qu’un appareil allonge vos bras jusqu’à ce roller, pour utiliser l’énergie de tout le corps non plus à 4 pattes, mais en restant debout... Le Skatedrive est né !
Derrière une simplicité apparente et trompeuse, le skatedrive cache un concept original, et non pas un accessoire de roller. Il utilise des rollers, comme un vélo utilise tous les éléments d’un monocycle (roue, fourche, selle, et pédales), mais sa pratique est aussi différente du roller que celle du vélo par rapport au monocycle.
Sur un vélo, on ajoute au monocycle une roue avant commandée directement par un guidon, ce qui crée un empattement : C’est la différence essentielle avec le monocycle. Ces trois éléments, qui n’existent pas sur le monocycle, génèrent une conduite et un comportement fondamentalement différents.
S’y ajoutent l’effet gyroscopique et l’inertie de cette seconde roue, et l’équilibre qu’elle apporte d’avant en arrière. Elle s’oppose également au pivotement inopiné de la roue arrière, représentant celle du monocycle.
Le centre de gravité de l’ensemble cycliste/vélo est porté nettement en avant de l’axe de la roue arrière, alors qu’il en est très proche sur le monocycle.
On retrouve toutes ces caractéristiques fondamentales avec un skatedriver, ce qui le différencie en cela notamment du roller, à ceci près que l’effet gyroscopique et l’inertie apportés par la roue du Skatedrive sont beaucoup plus importants en terme de différentiel, car les roues des rollers en sont quasiment dépourvues.
Certes un monocycle n’a qu’un point d'appui tandis que les rollers en ont deux.
Mais en y regardant de plus près, on constate qu’en patinant, le roller passe le plus clair de son temps sur un seul point d'appui, comme le monocycliste. En revanche, le skatedriver a toujours en patinant au moins deux appuis au sol, comme le cycliste. L’analogie monocycle/vélo reste donc très pertinente en termes d’équilibre notamment.
A ce stade, on comprend mieux que le skatedrive n’est pas plus l’accessoire des rollers que la roue avant et le guidon du vélo ne sont accessoires du monocycle. Ce qui trompe l’oeil, et par suite le raisonnement, c’est que le skatedrive et les rollers semblent séparés, tandis que la roue et le guidon du vélo sont unis à la roue arrière par un cadre.
Mais en réalité, ce cadre existe également avec un skatedriver : C’est son corps, et il unit les rollers au skatedrive. Mais ce "châssis organique" a des particularités n’existant sur aucun autre, car il est souple, articulé et déformable sans inertie, instantanément et à souhait.
Sur le plan technique, ces propriétés confèrent des possibilités hors du commun n’existant pas sur un vélo ou un tricycle classique dotés d’un cadre fixe et rigide : L’empattement, la hauteur, et la voie arrière généralement fixes deviennent ici variables, les deux roues arrière sont indépendantes, directionnelles et propulsives, et la roue avant, dont la dirigeabilité va de + 180° à – 180°, acquiert un effet moteur pour participer à la propulsion.
Particularité étonnante, la direction avant est mobile, c'est-à-dire que le skatedriver peut non seulement se diriger par inclinaison de la roue en tournant le guidon, mais aussi en le déplaçant à droite ou à gauche, ce qui produit un nouvel effet. En tournant et déplaçant simultanément le guidon, on obtient des possibilités supplémentaires inconnues avec tout autre véhicule, notamment un angle de braquage exceptionnel de 360° !
Ce "véhicule" d’un genre nouveau est ainsi doté d’une géométrie variable dans les trois dimensions, de 2 directions et de 3 roues indépendantes et directionnelles à effet moteur. C’est pourquoi sa maniabilité, supérieure à celle des rollers, et son comportement sont incomparables à ceux d’un vélo ou d’un tricycle rigide. Le Skatedrive a puisé les principaux avantages du vélo, du tricycle et du roller, sans toutefois présenter leurs inconvénients respectifs.
En France sur un plan juridique, ce moyen de déplacement ayant la fonctionnalité d’un tricycle à géométrie variable n’est pas considéré comme un véhicule, mais comme un accessoire de piéton, le corps humain ne pouvant être juridiquement admis comme élément d’un véhicule. Comme le roller, le skatedriver, est assimilé à un piéton. Mais à la différence du roller, il est avantageusement autorisé par le Code de la Route Français à utiliser la chaussée, s’il l’estime utile pour ne pas gêner les autres piétons, car il se déplace avec un objet encombrant.
Toutefois, cet encombrement apparent n’affecte nullement la facilité d’emploi ni la maniabilité qui reste supérieure à celle du roller dans la circulation automobile et sur les trottoirs encombrés.
Le vélo se différencie également du monocycle par la sécurité fournie par des organes de freinage indépendants de la propulsion. Le monocycle est dépourvu de freins, et pour cause, car faute d’empattement, le freinage de la roue commandé indépendamment de la position du corps et de la propulsion provoquerait comme pour le roller une chute en avant du fait de l'inertie.
Sur un vélo, le centre de gravité proche, mais en arrière du point d’appui avant, permet de freiner les deux roues, avec une efficacité bien supérieure du frein avant. Son emploi doit toutefois rester modéré du fait de la proximité du centre de gravité, pour ne pas qu’il bascule au-delà de l’appui avant.
Sur un skatedrive, le centre de gravité se situe très en arrière de l’appui avant, ce qui autorise la concentration plus efficace du freinage sur la seule roue avant en supprimant celui peu efficace des roues arrière. Le risque d’un basculement fortuit du centre de gravité au-delà de l’appui avant disparaît par un réglage approprié de la longueur du skatedrive.
SkateDrive®, comment ça s'utilise ?
Chaussé de rollers, on tient le Skatedrive devant soi en tenant le guidon à hauteur des hanches, et on se propulse et se dirige à la fois avec les bras et les jambes.
Le Skatedrive peut aussi être utilisé avec un monocycle ou encore à pied comme accessoire de portage en randonnée par exemple.
SkateDrive®, comment ça marche ?
Malgré des apparences trompeuses, le skatedrive procure une maniabilité hors du commun, et révèle à l’emploi des résultats insoupçonnables, notamment grâce à ses trois appuis : L’appui fuyant, l’appui freiné et l’appui propulseur.
- L'appui fuyant est un appui automatique, permanent et instantané, mais très bref, indépendant de la volonté du skatedriver, fourni par l’inertie du Skatedrive et le moment d’inertie de sa roue. Il agit comme un balancier en avant et en arrière, et ralentit les déséquilibres en laissant plus de temps pour se rééquilibrer.
- L’appui freiné est un appui volontaire obtenu en actionnant plus ou moins les freins, permettant de se ralentir, de s’arrêter, de réguler sa vitesse avec précision dans les descentes, de contrôler la descente d’escaliers, et de corriger les déséquilibres violents vers l’arrière et surtout vers l’avant. Son efficacité dépend de l’intensité du freinage.
- L'appui propulseur est un appui volontaire obtenu selon une technique musculaire particulière et nouvelle exercée sur la roue, en exploitant sa résistance au dérapage latéral. Il est invisible et insoupçonnable de l’extérieur. Son intensité dépend de l’adhérence et de la distance de la roue. Il s’utilise au démarrage, en accélération, et en propulsion. Il augmente sensiblement l’efficacité de la propulsion des jambes, supprime les déséquilibres en rotation, surtout en montée, et procure une propulsion par les bras.
Dans une de ses variantes, il agit comme un stator d’hélicoptère s’opposant à la rotation alternative générée par la poussée des pieds.
Pour mieux vous rendre compte, pensez au cycliste qui avance plus vite en tenant son guidon qu’en le lâchant, car il prend appui dessus.
La propulsion en avant est obtenue également par effets d’inertie, par effet de traction, ou par effet de godille, c'est-à-dire par "prises de carres" alternatives de la roue selon le principe du patinage.
Les deux directions utilisées indépendamment (avant ou arrière seule), ou simultanément, autorisent un braquage intégral jusqu’à un rayon égal à zéro, de brusques changements de direction à 90°, voire même jusqu’à 180°, et un contre-braquage permettant notamment de pencher et croiser en virage, ce qui offre des sensations particulières même à basse vitesse.
La géométrie variable en longueur permet une gestion originale de l’énergie cinétique, en la stockant par réduction de l’empattement, et en la libérant par allongement. Particulièrement efficace lors du déplacement rapide dans une foule par exemple, cette gestion d’énergie singulière et ludique réduit considérablement le gaspillage résultant de freinages devenant pour la plupart inutiles, tout en procurant beaucoup de plaisir.
La géométrie variable réduit l’encombrement au seul skatedriver, ce qui est très appréciable dans les ascenseurs et les transports en commun. Elle facilite le passage entre les véhicules, même dans les files étroites, le guidon passant aisément entre les rétroviseurs extérieurs à la hauteur voulue, et la propulsion restant assurée par la roue lorsque le patinage n’est plus possible.
Pour un stationnement vertical réduisant au minimum l’encombrement au sol, le "véhicule" se fractionne instantanément en lâchant vers l’avant le skatedrive qui se béquille seul (béquille en option). Et en saisissant les poignées tout en basculant le skatedrive en arrière, le véhicule se reforme et devient instantanément opérationnel pour partir dans n’importe quelle direction.
SkateDrive®, est-ce du roller ?
Non, pas vraiment. Il y a des techniques particulières qui s’acquièrent facilement avec la pratique. C’est plus du pilotage, augmentant les sensations de glisse perçues par les quatre membres roulant, dirigeant et participant au déplacement. Les possibilités et le patinage sont différents, et offrent en fait plus de liberté, de sensations, de fluidité, d'aisance, de performances et de sécurité : Equilibre, stabilité, précision, freinage, maniabilité et contrôle de l’allure sont enfin à la portée de tous !
SkateDrive®, pour qui ?
- tous celles et ceux qui veulent faire un geste pour sauver la Planète en se déplaçant autrement, et en devenant vraiment libres et autonomes
- tous celles et ceux qui n'ont jamais chaussé de rollers, quel que soit leur âge
- tous les patineuses et patineurs, qu’ils soient débutants, confirmés ou très expérimentés
- les professionnels (coursiers, livreurs, facteurs, agents de marketing, etc.)
- les randonneurs pédestres
- les sportifs en quête de plaisir et de sensations nouvelles dans de nouveaux défis
SkateDrive® comment faire ?
Pas besoin de savoir faire du roller, l’apprentissage facile, rapide et sécurisé n’exige pas de cours.
Une vingtaine de kilomètres suffit généralement aux rollers confirmés pour commencer à le prendre en main, et découvrir ses fonctions moins évidentes que le freinage et le portage.
SkateDrive®, pourquoi ?
- pour se déplacer de manière autonome, rapide, sûre, écologique, ludique, économique, et silencieuse
- pour transporter rapidement et sans fatigue les courses, colis, bagages, cartables, instruments de musique, etc. sans les nombreux inconvénients des sacs à dos
- pour exercer une activité physique douce mais complète, améliorant le rythme cardiaque et respiratoire, et développant l’endurance et les muscles tant du haut que du bas du corps
- pour pratiquer un loisir sportif, distrayant, convivial et sécuritaire, seul, en famille ou en groupe
- pour découvrir et profiter en sécurité du plaisir de la glisse intégrale, sur trottoirs, rues, routes, chemins, pistes de ski, champs et forêts, n’importe où et n’importe quand
- pour apprendre seul, rapidement et facilement les techniques du roller et d’autres sports d’équilibre, en réduisant considérablement leurs risques
- pour améliorer les performances et la sécurité des patineurs moyens, confirmés ou experts, et atteindre une maîtrise quasi absolue
- pour faire de la randonnée pédestre plus confortablement, avec plus de matériel sans le porter, pour profiter de distances plus longues avec moins de fatigue
- pour multiplier et diversifier les possibilités et les défis acrobatiques
SkateDrive®, en conclusion :
Le skatedrive combine la plupart des avantages du vélo et du roller, sans leurs inconvénients.
Il a les avantages d'un véhicule sans ses nombreux inconvénients, et profite ainsi en France du statut très avantageux de piéton.
Désormais, les patins se conduisent bien !